Une fois encore, nous nous levons à l’aube pour une visite de ruines. Mais, cette fois-ci, c’est pour les ruines les plus prestigieuses de Grèce : L’Acropole d’Athènes.
Nous avons prévu d’y être à l’ouverture à 8h, car nous voulons éviter les grosses les chaleurs. Elles sont d’ailleurs dans les prévisions météo du jour, car, sur l’autoroute, nous voyons des signalisations : ‘High temperature, high risk of fire’.
Nous trouvons trois places pour nos voitures au pied de l’acropole : Jour de chance !
A 8h15, nous commençons à faire la queue pour acheter nos billets. Nous en avons bien pour 45 min d’attente. Au bout de 30 minutes, nous trouvons un guide francophone. Nous négocions le prix pour 20 personnes à 250 € au lieu des 400 € prévus à l’origine.
Nous partons pour une heure de visite très intéressante. Elle commence l’histoire 5000 ans avant JC, avec la localisation de l’empire grec, puis continue avec les batailles contre les perses et finit avec Périclès, le général qui rapporta le trésor de défense de tout l’empire à Athènes pour qu’il soit plus en « sûreté ». Ce trésor servit à bâtir l’Acropole en 15 ans.
Maintenant, nous savons tout sur non seulement sur l’architecture, la construction et la fonction de chaque bâtiment mais aussi sur la fonction de toutes les collines avoisinantes, sur le théâtre antique, sur le stade olympique …
Ensuite, nous avons quartier libre pour faire nos photos sur le site : la photo de groupe avec le tee-shirt officiel, l’acropole, les cariatides …
Après nous passons à la visite du musée. Nous errons pendant 1h entre les poteries, les statues et les fresques reconstituées.
Un petit resto en terrasse, un adieu à Tristan qui repart précocement et une visite en ordre dispersé dans le quartier touristique de la Plaka. A 14h, Aude, Laurène, Gilles et Tristan partent vers l’aéroport tandis que les autres rentrent directement à la maison.
Très rapidement, Tristan est à l’aéroport et il est nettement en avance. Sur le chemin du retour, nous sommes nettement moins rapides car nous sommes déroutés pour cause d’incendie. Nous devons donc faire un détour de 2h.
Arrivés à la maison, il n’y a plus d’électricité. Nous mangeons donc un gros apéro agrémenté d’une grosse salade de tomates sur la terrasse du deuxième étage, pour surveiller le front des incendies.
Conclusion : il ne faut pas calculer trop juste pour aller à l’aéroport …